• Une mondialisation non-maitrisée qui entraine des distorsions d’exigences éthiques entre les différents pays.
• Une judiciarisation progressive de la RSE qui prend les entreprises au mot de leurs engagements volontaires.
• Des ONGs qui articulent droit souple et droit contraignant pour interpeller les entreprises sur leurs pratiques.
• Des mobilisations citoyennes de plus en plus fortes et agiles à fort impact sur la réputation des entreprises et l’image de leurs marques.
• Un Homo Ethicus Numericus qui à la fois dénonce en ligne et achète chaque jour des produits provenant de filières low cost à fort risque sociétal et environnemental.
• Une attention grandissante des investisseurs pour qui une atteinte à la réputation ou une remise en cause de l’acceptation sociale devient un facteur de risque financier.
| Traçabilité et Transparence sont les clés de la bonne maîtrise de ces nouveaux risques juridiques, sociétaux et réputationnels. |
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| Maitriser l’interaction de ces nouveaux risques impose aux organisations de nouvelles approches nées de réflexions hybrides. |
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